J’ai longtemps rêvé de trouver un endroit pareil à celui-ci où Gilbert Fastenaekens s’est mis à l’épreuve jusqu’à une forme de double épuisement, celui de son regard et celui du motif, pour laisser place à la force d’une expérience intimiste (voir son livre “Noces”). Durant le printemps 2021, lors du troisième confinement, au cours de mon projet “le disque” (10km autour de chez moi), j’ai découvert cet espace de 24 hectares où, depuis 30 ans, l’homme laisse la nature ensauvager cet ancien coteau de vignes.











